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ALOIS / ANGEL / MATTHEW

Le bruit de l'âme test :: Zone test :: FORUM
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# 08.06.21 14:32


Alois Delauney
Pedro Pascal
Qui es-tu ?

Je me prénomme Alois, mon nom de famille est Delauney. J'ai 42 ans et je suis né le 15 aout 1980, environ à inconnu. Je suis originaire de quelque part sur la planète et je suis de nationalité Américaine. Je m'identifie comme pansexuel & homme. Je suis actuellement Veuf. Je suis une âme vagabonde. On m'associe souvent à fools rush in. Je suis actuellement chroniqueur du friday night's alright show. On peut aussi me reconnaitre à ma célébrité dû à mon métier et au tatouage sur mon poignet gauche représentant un serpent qui se mord la queue. D'ailleurs on dit souvent que je ressemble à Pedro Pascal.

Quelle est ta position vis-à-vis des âmes errantes ?

Son avis au sujet des âmes errantes est plus que tranchés, voir même littéralement tranchant. Il ne le cache aucunement, il le dit même haut et fort dans des prises de positions toujours très exprimées : c'est pour lui une aberration. Et ce n'est pas juste une question de cycle naturel de la vie mais de quelque chose de cruel et égoïste. Non seulement, on faisait revivre une mort potentiellement douloureuse et tragique, qui laissera forcément ses traces sur l'individu mais en plus brisera le deuil qui n'a jamais pu se faire correctement. Et il ne veut mieux pas le lancer sur le sujet des corps artificiels.
Caractère
Si on ne se fit qu’aux apparences, on ne verra Aloïs que comme un type exubérant, excentrique ou encore égocentrique. On verra un homme dont les convictions semblent inébranlables, un homme qu’on a envie d’écouter, de croire. Quelqu’un qui choisit bien ses mots, qui les manient d’une manière que l'on pourrait prendre pour de l’art. Ce n’est pas un manipulateur, il sait juste convaincre les autres. Il persiste et ne lâche jamais prise. On pourrait facilement croire qu’il est né pour ça et pourtant, on en ignore bien des choses de lui. On ne voit que ce qu’il montre devant la caméra, pendant son émission, ses interviews. Mais on en voit moins une fois en dehors. Parce qu’Aloïs n’est pas que ça, il n’est pas que le rigolo qu’on voit à la télé ni que cette diva caractérielle que doivent supporter ses collègues.

Mais c’est aussi ce qu’il veut qu’on voie, une image qu’il se donne pour cacher une réalité qu’on aura du mal à imaginer. Il fait ça pour se protéger et aussi parce que c’est ce qui fait sa force, ce qui lui a permis d’être là où il est. Et ce masque ou non, cette rage de vaincre, il l’a toujours eu, comme si son esprit avait besoin de ça pour faire barrage au reste, comme pour compenser tout le reste, comme s’il n’y avait que ça qui comptait. Et derrière cette image se cache un homme assez doux, calme même parfois. Quelqu’un qui a peur de l’abandon, quelqu’un qui a le cœur brisé depuis déjà quelques années maintenant et qui combat cette perte comme il le peut.
Biographie
Il y a quelque chose qu’Aloïs ne ferait jamais si on venait à lui demander, ce serait bien son autobiographie. Lui qui est pourtant égocentrique, on pourrait croire qu’il sauterait sur l’occasion de pouvoir parler que de lui. Ce n’est pas le cas, simplement parce qu’il a toujours été quelqu’un de très discret dés que ça touche sa vie privée. Parce que sa vie a toujours été compliquée et qu’il n’aime simplement pas en parler. Une vie qui a de base déjà mal commencée. Une vie qui a débuté par un abandon. Trouvé dans un carton devant une caserne, le petit bébé est passé de main en main avant de trouver une famille adoptive. Adopté par les Delauney, une famille de français qui se sont installé aux USA dans les années soixante-dix. Son enfance a été plutôt normale, parce que les Delauney l’ont toujours élevé comme leur propre enfant, comme s’il était de leur sang. Mais c’était ça le problème. Même si c’était pour le protéger, omettre une triste vérité n’a jamais été bon pour personne. Mais ils n’ont jamais pu se résoudre à le lui dire, ils avaient peur. Ils avaient peur du rejet, de perdre l’étincelle qu’il avait dans les yeux à chaque instant qu’il passait avec eux. Mais Aloïs était un gamin en avance sur son âge. Qui avant d’avoir l’âge s’intéressait à des choses plus avancées. Il était curieux, obsessionnel même, par moment. Et il a commencé à se poser des questions, le jeune adolescent. Il remarquait les signes que quelque chose ne collait pas dans le tableau : lui. Il ne ressemblait à aucun de ses parents, ni grands parents. Personnes. Tous deux avaient les yeux bleus et lui les avaient brun. Et il ne lui avait fallu pas longtemps pour trouver le bouquin qu’il fallait. Il ne lui en demanda pas plus quand il posa finalement cette question d’un coup au milieu d’un diner. Ça valut à ce que sa mère lâche d’un coup ses couverts, que son père lui s’étouffe presque avec le vin qu’il buvait à cet instant. Ils n’eurent tristement pas eu le temps de répondre, leur réaction avait malheureusement parlé pour eux.

Une révélation qui fut bien trop dure à avaler, à même comprendre pour lui. Ca lui était tombé dessus d’un coup, ça avait alourdi l’intégralité de son corps, il ne s’était jamais senti aussi petit. Et le silence de mort dans la cuisine se conclut par le fracas de sa chaise tombant à la renverse après qu’il se soit levé d’un coup pour se mettre à courir, à fuir cette maison qui lui semblait d’un coup minuscule. Il s’était mis à courir sans but précis, il manqua même de se faire renverser en courant au milieu de la route sans regarder. Il avait continué, encore et encore. Pour finalement n’arrêter que lorsqu’il n’eut plus de souffle dans les poumons. Se tenant les genoux, il se retrouvait là, au milieu de Brooklyn complètement perdu. Ça avait alerté des policiers qui passaient par là, se demandant ce qu’un gamin d’à peine douze ans pouvait faire là tout seul dans cet état. Ils furent rejoints quelques minutes par son père qui l’avait suivi. Après quelques explications, ils rentrèrent à la maison. Ensuite se suivit de longues heures de discussion, pour en arriver à la conclusion, toujours vrai aujourd’hui, qu’ils ne leur en voulaient pas à eux. Mais bien à cette mère qui n’a pas eu le courage de l’être, à ce père qui ne l’a jamais été. Il ignore qui ils sont et il s’est résolu à ne jamais vouloir le savoir.

Après quoi, ils ont réussi à aller de l’avant, même si ça avait créé une fêlure qui ne sera jamais refermé en lui. Une peur terrible qu’on l’abandonne à nouveau, comme s’il n’était pas important, juste bon à jeter. Mais ça ne l’avait pas empêché de s’affirmer, de déjà à cette époque faire croire qu’il est le type cool, excentrique. Si ça lui a causé du tort, ça l’avait aussi beaucoup aidé. Il n’a jamais fait parti des gamins harcelés, parfois malheureusement des harceleurs et ce même s’il n’en est pas très fier. Lui tout ce qu’il voulait, c’était devenir le type dont on a besoin, celui qui gagne. Il a toujours aimé les débats, l’écriture, la lecture. Naturellement il s’était dirigé au club de débat, justement et surtout vers le journal du lycée. Déjà adolescent et jeune adulte, sa plume se voulait déjà tranchante. Il s’était très vite intéressé aux sujets des âmes, après tout, c’est ce qu’ils entendent tous parler constamment. Parce que c’était une chose centrale de leur société de maintenant. Plus personne n’avait besoin de craindre qui que ce soit à cause de problématique totalement révolu, comme la couleur de peau ou leur identité. Si au début, il ne savait pas encore comment se positionner vis-à-vis de certains aspects de cette nouvelle société, il l’affinera au fur et à mesure du temps, de sa vie.

Naturellement, il fit des études en journalisme, ainsi qu’en philosophie et dans d’autre domaine avec qu’un seul objectif en tête, devenir un journaliste qu’on entend, qu’on lit, qu’on écoute. Quelqu’un dont la voix importe. Jamais rien ne l’avait vraiment déjoué de cette voix, sauf elle.

Sauf elle, qui, l’avait envouté de sa beauté, de sa gentillesse. Un ange venu sur terre, qu’aurait même dit Aloïs qui fut pendant quelques temps aveuglés par un amour trop intense qui n’en a pas vu les failles. Rebecca qu’elle s’appelait. Ils se sont mariés, vite, bien trop vite. Et ça ne dura que six années. Six années où les choses sont allés trop vite pour qu’il ne voit quoi que ce soit. Trop vite pour voir qu’elle n’était pas stable, pas bien dans sa peau, pas bien pour vivre simplement. Il n’a jamais vu à travers ses regards parfois absents, qu’il la perdait au fur et à mesure des jours. Non, il n’a pas vu ça, deux heures avant qu’elle ne mette soudainement fin à sa vie. Avant qu’il ne la trouve dans la salle de bain, avec l’eau teintée qui débordait de la baignoire. Une image qui le hante encore aujourd’hui. Une histoire qu’il ne raconte à personne. Personne ne sait même qu’il a été marié. Seule sa famille le sait. Une période de sa vie qui l’a marqué, qui n’a qu’amplifié ce sentiment qui le hantait tant. Elle l’avait abandonné. Et il se sentait trahi.

Oh, il aurait pu penser à la faire revenir, il avait même commencé à préparer les papiers pour le devis. Mais avant même qu’il ne signe, ça fit comme un flash comme une certitude. Il ne devait absolument pas faire ça.

A partir de ce jour-là, son opinion encore peu sûre fut marquée au fer rouge. A partir de ce jour, l’Aloïs Delauney que l’on voit à la télévision était né. Depuis ce jour, il se bat pour ses convictions. Il se bat contre ce qu’il pense être le plus gros mal de leur société pour bien des choses. Et il ne compte pas s’arrêter.
ichi
Ton âge : 27 piges.
D'où viens-tu ? : Fronce.
Comment nous as-tu trouvé ? : Je sais pas du tout.
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# 08.06.21 14:32


Angel Flores
Oscar Isaac
Qui es-tu ?

Je me prénomme Angel, mon nom de famille est Flores. J'ai 52 ans depuis ma naissance, 42 ans de vie effective et je suis né le 17 août 1969 à New York à lieu. Je suis originaire du Guatemala et je suis de nationalité américaine. Je m'identifie comme un homme homosexuel. Je suis actuellement marié, malheureusement. Je suis une âme errante. On m'associe souvent à I won't dance. Je suis actuellement assistant personnel d'Alois Delauney. On peut aussi me reconnaitre à mes cheveux grisonnants et bouclés. D'ailleurs on dit souvent que je ressemble à Oscar Isaac.

Comment es-tu mort.e et revenu.e ? Comment te sens tu ?

Tu es mort dans un accident de voiture, dont tu n'as aucun souvenir, ni des heures qui l'ont précédé. Ton plus ancien souvenir avant ta mort est un petit déjeuner sur le balcon de votre appartement, et Miguel qui s'en va. Puis plus rien. Tu te souviens, néanmoins, de tes dix années en tant qu'âme désincarnée, et des efforts de Miguel pour ne jamais t'oublier - pour, surtout, te ramener. Tu n'as jamais eu aucun problème avec ça, même avant ta propre mort, et tu es malgré tout content de pouvoir avoir cette seconde chance, même si ta vie est des plus étranges depuis...

Caractère
Le moins que l'on puisse dire, c'est que tu es calme. Calme, posé, et toujours à l'écoute. Tu aimes écouter les autres parler, tu as tendance d'ailleurs à attirer les confidences, même quand tu ne fais rien pour. Mais tu aimes être là pour les autres, toujours.

Tu es peut-être un peu plus distant aujourd'hui qu'avant ta mort, tout simplement car tu as parfois du mal à trouver tous tes repères. Mais ça ne t'empêche pas de toujours répondre présent quand quelqu'un en a besoin.

On pourrait souvent te penser trop austère, renfermé. Il n'y a rien de plus faux. Tu aimes t'amuser, tu aimes rire, c'est simplement qu'il est extrêmement rare de te voir le faire aux éclats. De même, il en faut beaucoup pour t'énerver, et rare sont ceux qui y sont déjà arrivés, même si Miguel remporte sans conteste la palme dans ce domaine. Tu fais pourtant bien attention à ce type de sentiment et t'en méfie comme de la peste.

Biographie
Tu es né une première fois par une nuit d'orage, l'une de ces tempêtes estivales à laquelle on ne s'attend pas et qui éclate après des jours et des jours d'un temps lourd d'humidité. Mais, bien sûr, de cela, tu ne t'en souviens pas. On te l'a cependant raconté tellement de fois, des dizaines et des dizaines, que tu as parfois l'impression d'en voir la moindre image, le moindre détail. C'était le 17 août 1969, et la route de la maternité s'est retrouvée bloquée par les intempéries, obligeant ton père à aider à accoucher lui-même sa femme dans la voiture. Une anecdote que tu l'as toujours entendu raconter avec cette fêlure dans la voix, émotion trop forte si fortement retenue qui le caractérise.

Tu étais le petit dernier d'une famille de cinq enfants ; celui qu'on n'attendait plus, la naissance inespérée. Tu as toujours été aimé et choyé, même si tes parents travaillaient durs pour pouvoir nourrir tout le monde et qu'ils n'étaient jamais très présents. Tu as grandi en parti élevé par tes deux grandes sœurs, elles qui avaient treize et dix ans de plus que toi et qui ont toujours secondé tes parents. Tu as subis les bêtises des jumeaux, aussi, tes deux grand frères de cinq ans tes aînés.

Tu as vécu une enfance et une adolescence classique, ni trop bon élève, ni trop mauvais. On a toujours dit de toi - presque reproché, parfois - d'être trop discret. Sur tous tes bulletins, tu avais au moins une fois une appréciation qui soulignait tes efforts au travail mais regrettait ton manque de participation. Ce n'est pas que tu n'essayais pas, pourtant. Mais tu as toujours préféré écouter plutôt que parler. Alors tu as continué à traîner ta réputation d'élève moyen, pour devenir un étudiant effacé, puis un homme silencieux.

Tu as bien réussi ton parcours, après l'université, que tu t'es payé tout seul, en t'endettant et en travaillant, car tu as toujours refusé de laisser peser cette charge sur les épaules de ta famille. Tu t'es dégoté un bon travail, dans une boite d'informatique, où on ne te demandait pas beaucoup de relationnel ; non, toi, tu étais ingénieur, et ça t'allais très bien comme ça. Tu as mené ta barque, bon an, mal an, tu as rencontré un homme, là-bas. Oh, bien sûr, tu avais eu d'autres histoires avant, mais lui, lui, c'était autre chose. Lui, c'était Miguel, et vous avez vécu des années merveilleuses ensemble, vraiment. Les premières, surtout. Parce qu'avec le temps... Avec le temps, tout s'efface. Tout s'en va. Et toi qui a toujours cru à l'amour éternel, tu as fini par t'apercevoir que finalement, ça n'existait peut-être pas.

Parce qu'avec les années, les disputes se sont fait de plus en plus fréquentes. De plus en plus présentes. Et puis tu as commencé à te poser des questions, quand tu t'es rendu compte qu'elles étaient plus nombreuses que les bons moments. Qu'elles étaient toujours là. Et que même quand tout semblait calme, il y avait cette tension sous-jacente qui ne semblait jamais vraiment vous quitter.

La suite logique de tout ça, ça aurait dû être la rupture. On se quitte en bon terme, même si on s'aime encore, pour ne pas pourrir ce qui ne tiens déjà plus bien debout. On arrête tout, et on ne garde plus que les bons souvenirs. Ca aurait dû être le plan, n'est-ce pas ? La suite logique des choses.

Mais ça, ça a été sans compter sur ton accident. Soudain. Brutal. Et du jour au lendemain, tu n'étais plus là. Mort. l'année même de tes quarante ans.

De l'accident en lui-même, tu ne te souviens de rien. Comme un trou noir, un vide dans tes souvenirs. De la période qui a suivi, un peu plus, déjà. Tu te souviens être retourné voir Miguel. Tu te souviens de cet appartement que vous avez partagé, toujours plongé dans le noir. Tu te souviens de sa tristesse. Tu te souviens de cette envie, récurrente, de le prendre dans tes bras. Juste pour tenter d'apaiser sa peine, un peu.

Tu te souviens qu'il tentait de te parler, quelques fois, sans que tu ne sois jamais capable de lui répondre. Tu te souviens d'avoir tenter de te manifester, pour qu'il sache que tu étais là. Que tu étais toujours là. Tu te souviens de ces dix années passées, sans que tu ne comprennes qu'il n'avait qu'une seule idée fixe en tête : te ramener.

Et il l'a fait. Cela lui a prit du temps, parce que même si vous n'étiez pas à plaindre, vous n'aviez pas non plus de gros revenus. Dix ans. Dix ans, et il t'a ramené, exactement comme au jour de ta mort. Même corps, même toi. Dix ans, et une nouvelle vie, une seconde chance pour toi. Pour vous deux. Dix ans, et tu es né une seconde fois, à 40 ans, le 18 décembre 2019.

Un joli cadeau de noël. Auquel tu as voulu croire, bien sûr. Y croire, parce qu'après tout, vous êtes de nouveau ensemble. Y croire parce que s'il a perdu dix ans à vouloir à tout prix te ramener, ce n'était pas pour rien ! Et tu y as cru. Pendant un an, tu y as cru. Pendant un an, ça a été très bien, parfait, même. Une seconde lune de miel au quotidien.

Un an, une petite année. Et depuis un an, c'est comme si tout allait de nouveau de travers. Il n'y a plus de dispute, cependant. Plus vraiment. Juste une indifférence polie, la majorité du temps. Juste lui, qui a dépensé dix ans de sa vie, et n'est pas prêt à te laisser partir. Juste toi, qui lui doit cette nouvelle vie, et ne peut pas, définitivement pas, te résoudre à l'abandonner.

Voilà où tu en es, aujourd'hui. On t'a trouvé un travail d'assistant à la chaîne Heartscape Network, où tu caches, bien sûr, ta qualité de revenu à la vie - parce que, tu comprends, tu étais dépassé en ingénierie, à ton retour, et c'est tout ce qu'on t'a trouvé, alors -. Tu as fini, tu ne sais trop comment, à bien t'entendre avec M. Delauney, qui t'a adopté comme assistant personnel. Et puis, tu l'aime bien, M. Delauney, malgré ses idées qui te hérissent un peu trop souvent - s'il savait !

Voilà où tu en es, aujourd'hui, alors que tous ceux autour de toi ont vécu dix ans de plus, dix ans de trop. Un travail où on te haïrais si on savait qui tu es, un mariage qui n'existe plus que sur le papier, et un entourage avec lequel tu ne parviens pas, malgré tout tes efforts, à réellement renouer. Et une amnésie traumatique sur laquelle tu le sais, un jour, il te faudra bien lever le voile. Voilà où tu en es, aujourd'hui. Et tu ne sais pas encore ce que tu pourrais réellement devenir.
DianaJess
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# 08.06.21 14:33


Matthew Hudson
Sebastian Stan
Qui es-tu ?

Je me prénomme Matthew, mon nom de famille est Hudson. J'ai 38 ans et je suis né le 19 juin à New York. Je suis originaire de Roumanie et je suis de nationalité américaine. Je m'identifie comme un homme pansexuel. Je suis actuellement en couple. Je suis une âme vagabonde. On m'associe souvent à old devil moon. Je suis actuellement directeur du Waldorf Astoria Palace. Et officeusement à la tête d'un gang.. On peut aussi me reconnaitre à un tatouage sur l'épaule qui s'enroule sur le haut de son bras. Et une cicatrice à l'abdomen, discrète.. D'ailleurs on dit souvent que je ressemble à Sebastian Stan.

Quelle est ta position vis-à-vis des âmes errantes ?

D'un point de vue moral, Matthew n'a absolument rien contre les âmes errantes - ce n'est pas comme s'il avait une morale non plus, d'ailleurs. D'un point de vue financier, il est totalement pour que les gens aient envie, voire ait le besoin de faire revenir leurs proches ; le fait d'être à la tête d'un trafic illégale de corps artificiel n'y est sans doute pas étranger. Business is business.
Caractère
Affable. Souriant. Sympathique. Et diablement efficace. Ce sont autant d'adjectifs que l'on utilise très régulièrement pour décrire M. Hudson dans son entourage professionnel - à peu près, en réalité, son seul entourage. Il faut dire que tout cela lui correspond parfaitement, tant il sait se montrer compétent à son poste de directeur du Waldorf Astoria Palace. On ne sait que peu, cependant, sur sa vie privée, hormis qu'il partage celle d'un homme avec qui il élève une jeune enfant. Et c'est à peu près tout, tant M. Hudson sait être discret.

Dur. Froid. Implacable, sous un sourire si grinçant. Autant d'adjectifs qui correspondent au boss, pour ceux qui ont le malheur de croiser sa route. Il n'accepte pas l'erreur. Il n'accepte pas de faillir. Et il accepte moins encore que les autres le fassent.

Et puis il y a Matthew. Matthew, dans la sphère privée, qui se limite à l'appartement qu'il partage avec son amant. Matthew, souriant et aimant. Matthew, froid et implacable. Qui oscille entre l'un et l'autre, soufflant le chaud et le froid, déstabilisant, toujours. Confiant et jaloux. Amusant et réprobateur. Impliqué et distant. Et capable d'élever quelqu'un comme de le faire chuter de la plus brutale des façons.
Biographie
Trigger Warning : violence sur les parties en italiqueIl n'y a aucun signe avant-coureur, avant que le poing de l'homme vienne s'écraser contre la joue de celui qui lui fait fasse. Aucun autre signe que la disparition de ce sourire qui ourlait jusqu'alors ses lèvres, pour ne laisser la place qu'à un regard glacial. Et avant que l'autre ne puisse réagir, c'est un nouveau coup. Et un nouveau. Et un nouveau. Et les grognement de douleurs ont cédé la place aux coups sourds qui rythment désormais le silence, au souffle court de l'homme qui se déchaîne avec une régularité terrifiante, presque méthodique. Comme s'il ne devait jamais y avoir de fin.

"Monsieur Lewis, j'ai cru comprendre que vous aviez rencontré quelques difficultés... Bien sûr, je comprend, nous allons nous en occuper tout de suite. John, s'il vous plaît, il semble qu'il manque des serviettes dans la chambre de Monsieur Lewis, merci de vous en occuper immédiatement." Le ton reste poli, presque sympathique, mais l'ordre ne souffre d'aucune contestation. Bien sûr, il ne manque rien, en réalité, dans la suite de Monsieur Lewis, Matthew sait que ses équipes n'aurait jamais commis une erreur aussi grossière. Mais Monsieur Lewis est un homme exigeant, et l'un des meilleurs clients du Waldorf Astoria Palace. Alors Monsieur Lewis aura tout ce qu'il demande, quitte à ne même pas avoir besoin de le demander.

Quand le bras a commencé à fatiguer, c'est le genoux qui a pris le relais, venant s'écraser dans l'abdomen de l'homme, le forçant à se plier en deux sous le coup de cette nouvelle attaque. Et aussitôt, les mains se saisissent de la nuque, alors que le genou se relève et vient s'écraser sur le nez de l'autre homme, le cassant net dans un craquement sinistre.

Matthew repars d'un pas rapide, pressé, quand Monsieur Lewis consent enfin à regagner sa suite, et le directeur se dirige à grand pas vers la salle de réception dans laquelle doit être célébré l'un des plus beau mariage que New York accueillera cette année. Il doit s'assurer que tout soit parfait, que les tables seront dressées avec le plus grand soin, que chaque rose sera fraîche, chaque bouteille de champagne en place, que chaque invité saura trouvé sa place et les cadeaux qui lui sont réservés dès son entrée dans les lieux. Comme toujours, il y va de la réputation de l'établissement qu'il gère d'une main de fer dans un gant de velours. Une réputation qu'il ne laissera entacher sous aucun prétexte.

Et quand l'autre n'a plus la force de tenir debout, c'est le pied de son tortionnaire d'un soir qui vient le cueillir, d'abord en plein torse, puis dans chaque parti de son corps qu'il peut atteindre. Déchaînement de violence dans un silence pesant. Sans un mot. Sans une explication. Sans plus une plainte, non plus, depuis que l'autre homme se contente de protéger comme il le peut sa tête de ses bras malmenés, subissant les assauts sans pouvoir s'en défendre.

Matthew évolue dans la pièce, accueillant les invités, un mot pour chacun, comme s'il les connaissait tous personnellement - et c'est le cas, tout de même, pour beaucoup d'entre eux. Matthew évolue parmi les gens de cette haute société New Yorkaise avec une aisance qui démontre bien la force de l'habitude : des années, bien sûr, au sein du Waldorf Astoria Palace, mais surtout une éducation qui n'a rien à envier à celles de rejetons des riches familles présentes ce soir. Il faut dire qu'il vient de ce milieu, Matthew. Troisième enfant de Georges Hudson, riche entrepreneur, et de son épouse Mary, héritière de la famille Pages, il a toujours connu les meilleurs écoles, les meilleurs facultés. Il n'a jamais manqué de rien, d'un point de vue financier, du moins, et a vu très tôt son frère aîné reprendre le flambeau de l'entreprise familiale, sa soeur partir pour se marier à un homme lui aussi fortuné. A Matthew, cependant, on a jamais rien demandé, le laissant libre de ses choix et de ses fréquentations. Le laissant libre, surtout, d'occuper un ennuie grandissant.

L'autre n'a pas perdu conscience, mais ce n'est pas loin, quand enfin, le déchaînement de violence semble enfin prendre fin. Mais ce n'est pas son état, qui a fini par arrêter l'homme. Il se moque bien de savoir s'il peut encore vraiment respirer, ou même s'il va ou non y passer. Non, c'est son propre corps qui commence à fatiguer, qui lui fait cesser cet acharnement. Les contractures dans ses bras, dans ses jambes, même s'il prend soin de s'entretenir régulièrement. Il faut dire qu'il a peu l'habitude de se déchaîner ainsi, laissant d'habitude aux autres le soin de régler ce type de problème. Mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui, c'était une affaire personnelle.

On ne saurait deviner, à le voir ainsi, Matthew, ce qui occupe une partie de ses journées. On ne saurait deviner ce qui se trame dans cette partie sombre de sa vie. On ne saurait penser à cette drogue, qu'il a commencé à vendre sur les bancs de Columbia et à laquelle il s'est toujours refusé de toucher. On ne saurait croire qu'il a développer ce business en parallèle de brillantes études. On ne saurait dire qu'il a sous ses ordres, aujourd'hui, des hommes et des femmes qui le connaissent sous le nom de boss et qui le craignent presque autant qu'ils le respectent. On ne saurait imaginer que de la drogue, il a étendu son influence sur un marché noir parallèle et oh combien lucratif : celui des corps artificiels de contrebande. On ne saurait concevoir le sang qu'il a sur les mains, ou, tout du moins, sur la conscience, alors que, de son sourire, il réconforte une mariée trop stressée, il s'assure, tel un chef d'orchestre, que tout est se déroule parfaitement comme prévu. Il ne saurait rien envisager d'autre.

Et lorsqu'il se penche au-dessus de l'homme qu'il vient de battre presque à mort, il prend le temps d'essuyer ses mains abimées par le nombre de coups donnés. Avant de murmurer, si bas que l'autre seul peut entendre : "Je t'avais prévenu, de ne pas t'en prendre à William, Sam. Tu as voulu ciblé la mauvaise personne." Et lorsqu'il se relève, le Boss, c'est pour ne pas jeter un regard de plus en arrière. Il fait signe à ses deux hommes de se débarrasser de l'autre. C'est dommage, Sam était quelqu'un d'efficace. Mais il a essayé de trahir la mauvaise personne.

Et lorsqu'Isaiah le rejoint, alors que la soirée prend fin, et que Matthew vient passer une main autour de sa taille, déposé un baiser discret sur sa joue, on ne pourrait croire que les deux hommes s'entraînent l'un et l'autre dans cette spirale infernale de violence, d'abord physique et morale, dans le cadre de cette double vie que personne ne connaît, et ensuite psychologique, lorsque la porte de l'appartement qu'ils partagent se referme derrière eux. Personne ne sait. Personne ne saura jamais. Et déjà, Matthew repart pour saluer les derniers invités, vérifier que la soirée se termine aussi bien qu'elle s'est déroulée. En quelque sorte, mener d'une main de maître de bout en bout et jusqu'à la fin, cette vie qu'il a construit, aussi bien dans sa partie visible que dans celle que personne ne saurait deviner.  
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